J’ai choisi des photographies de moments où j’ai senti le vivant pulser avec force, alors que j’étais seule dans le désert avec mon ombre. À explorer le lien inédit qu’elle crée entre le paysage, la lumière et moi. Ces photos, je les ai mises dans des écrins, de beaux cadres anciens glanés chez des antiquaires virtuels. Je remercie la vie d’avoir habité ces moments jadis et j’essaie par l’écriture de les habiter encore.
Isabelle Duval
Publié dans le 31e numéro de la revue Ancrages Vivant