J’ai choisi de reprendre trois éléments qui incarnaient, pour moi, de manière la plus juste cette idée du vivant. Eaux, parce que la vie en est issue depuis le début du monde. Jardins, parce que la vie humaine dépend de la générosité des sols et de la terre. Territoire, parce que l’espace nous est nécessaire pour survivre — et je fais référence, ici, à ma culture autochtone.
Virginia Pesemapeo Bordeleau
Publié dans le 31e numéro de la revue Ancrages Vivant