Poème adressé à M. Gérald Bourreau, Cenon sur Vienne.
Sur la ligne d’horizon, un point
soulève les tentures du ciel.
Un érable, peut-être :
solitude peuplée.
Je suis l’érable, pas tout à fait
à la commissure du sacré et de la soif ; j’ignore
où s’achève l’image, où commence la vie.
Émilie Turmel
Texte publié dans le No 18.