Roselyne Albert. J’onge l’onge…

j’onge l’onge
du paraclet
tel un sinistre parquidam

je joue l’illustre
           carquignam
du ploute inflûte
de l’arnôme

plange cloustre et perquiclousse
l’ousstre clousstre
dans l’ormaune

j’onge l’onge
sans homône
la fascicule sindropore

j’épîtroscope
l’articule
des plantamanicoladômes

j’électrificalorifaume
lastricapurnalicarnaque

je soufrousse
et je perdure
dans le ganclet de l’ostropode

par la démaniacolabiose
du pousstrifin monacoliade

ark ! ark ! arkaniabule !
jetons la strape du juseur
j’uminilavalutipule
les démangeailles du striffeur !

et puis je plouk l’ostracule
qui me jusois intemporaille

voici la fin de mon poaille
manicastruques félovipèdes

24 mars 2002

Roselyne Albert Maurice Raymond

publié dans le numéro 38. Hommage à Roselyne Albert

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