Laurie Girard. Sans titre

À force de
dépassement
de reprises
de pertes
des repères
on s’use
la peau
le cœur
la source

Il ronge
le temps
qui ronge
la vie

Laurie Girard

présenté au Café Clémentine
dans le cadre du projet
Une ville, un livre, chapitre 1

Photos : Julie Caissie

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